La cause des fléaux
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- Catégorie : LE FUTUR DES HOMMES
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La cause des fléaux
Maître Vénitien 31.01.12
Il est question de cycles qui ont pour but une épuration continuelle de la matière, une transformation rythmée sous la Loi des Cycles et du Plan et qui concernent autant les hommes que la Terre, appelée le Sanctuaire des hommes, nous l’avons vu.
Selon un certain nombre d’influences cosmiques, et cycliques, la respiration de la terre peut se lire en Ere et en évènements de toutes sortes. Ce qui décime aujourd’hui les populations, c’est la concentration humaine face à des agents pathogènes directement introduits par l’homme, ou véhiculés par lui. Tous les dysfonctionnements humains sont plus liés à l’homme qu’à une quelconque intervention extérieure. C’est principalement lié à la pollution, au déséquilibre naturel.
La plupart des grandes disettes auraient pu être évitées si les hommes avaient été prévoyants et attentifs aux plus pauvres, au Peuple. Aujourd’hui joue le mouvement pour la propagation des maladies, et aucun pays n’est à l’abri d’une épidémie importée, mais aussi fabriquée, ce qui est une toute autre affaire.
La tension sur Terre est à son comble pour plusieurs raisons, notamment par son temps cosmique de fin de Cycle et d’entrée dans le Nouveau, engendrant une nécessaire élévation de la pensée de l’Humanité.
Ceci est favorisé par la succession d’influences cosmiques nommées Rayons (ou Energies) dans un ordre donné qui influe considérablement sur l’évolution de l’Humanité. Lorsque l’on dit « développement de l’Humanité » on dit : développement de tous les aspects de l’homme : sa pensée et son émotivité, en réaction avec son refus, sa résistance à l’effort de changement et c’est ce point focal de passage dans la Nouvelle Ere qui crée, non seulement une difficulté majeure pour l’Humanité, mais aussi pour la Terre en deux points : la réaction à sa propre destinée ou réaction naturelle au cycle (le sien) et réaction à l’état psychique de l’humanité qui fait facteur d’amplificateur des réactions terrestres. Même sous le terme de « fléaux », nous retrouvons le même processus d’amplification des risques par réceptivité/perméabilité de l’humanité, et plus particulièrement, certains groupes fragilisés – qui permettent l’expansion du fléau. C’est donc le facteur de bien-être humain qui est un rempart au développement des épidémies naturelles.
Il ne faut pas confondre séisme-volcanisme en grande partie liée à l’activité naturelle et cyclique de la Terre - même avec amplification due au facteur humain de l’émotion - avec les calamités liées à la santé des hommes, dont ils sont en grande partie responsables.
Nous pouvons conclure sur le fait que l’homme aura tôt fait d’attribuer aux éléments naturels ce qu’il a lui-même engendré. Il serait bon d’évaluer avec lucidité et acuité les dégâts de l’homme sur la nature, en amont de toute calamité naturelle.
Les influences cosmiques programmées et entrant dans des cycles aux rythmes connus intégrés au rythme cosmique et systémiques (Système Solaire et Galaxie) ne sont pas destructrices dans leur but et participent à l’évolution de l’humanité dans son principe infini : l’âme de Groupe comme l’âme individuelle.
