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LES ENSEIGNEMENTS DES MAITRES DE LA HIERARCHIE

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CHAPITRE VI — UNITÉ DE LA CONSCIENCE 1 — LA CONSCIENCE COMME UNITÉ

CHAPITRE VI

UNITÉ DE LA CONSCIENCE

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LA CONSCIENCE COMME UNITÉ


Lorsque nous étudions les différentes manifestations de la conscience, nous sommes souvent portés à oublier deux faits importants : premièrement, que la conscience de chaque individu est une Unité, si séparée, si différente qu'elle paraisse de chacune de ses autres manifestations ; deuxièmement, que toutes ces Unités sont elles-mêmes des parties de la Conscience du Logos, et par conséquent réagissent d'une façon semblable sous des conditions identiques.
Nous ne saurions trop nous répéter que la conscience est UNIQUE ; que toutes les consciences, en apparence séparées, ne font qu'une unité ; ainsi l'eau d'une seule mer peut passer à la fois par plusieurs trous d'une digue et ressortir colorée de différentes teintes si cette digue est composée de matériaux de couleurs différentes, et cependant ce sera toujours de l'eau de la même mer ; si on l'analyse, elle montrera toujours la présence des mêmes sels caractéristiques. De même, toutes les consciences viennent d'un même Océan de conscience et toutes ont un [116] grand nombre de points d'identité essentiels. Enveloppées dans le voile d'une même matière, elles agiront toutes d'une même façon et révèleront l'identité fondamentale de leur nature.
Au lieu d'une unité, la conscience individuelle semble être complexe, quant à ses manifestations ; c'est pourquoi notre psychologie moderne parle de personnalité double, triple, multiple ; perdant de vue cette unité fondamentale qui subsiste au sein de la confusion de la multiplicité. En réalité, notre conscience est bien une Unité et l'hétérogénéité qu'elle présente dans ses manifestations est due aux matériaux dans lesquels elle agit.
La conscience ordinaire de l'homme, à l'état de veille, est la conscience agissant dans le cerveau physique d'une certaine manière imposée par ce cerveau, qui limite et conditionne cette conscience par les différents obstacles qu'il oppose à sa manifestation ; le moindre caillot de sang l'arrête et le dépérissement des tissus paralyse complètement son action ; à chaque instant le cerveau met obstacle à sa manifestation, et cependant c'est le seul instrument qui lui permette d'agir sur le plan physique.
Lorsque la conscience, détournant son attention du monde physique extérieur, abandonne la partie plus dense du cerveau physique et se sert exclusivement de la partie éthérique, ses manifestations changent aussitôt de caractère. L'imagination créatrice se donne libre cours dans la matière éthérique et, attirant à elle toutes les choses qui sont accumulées dans cette matière, elle les arrange, les dissocie, les recombine à sa guise et crée ainsi les mondes inférieurs des rêves. [117]
Lorsque la conscience met de côté, pour un instant, son enveloppe éthérée, détournant complètement son attention du monde physique et rejetant les liens qui la retiennent sur ce plan, elle rôde à sa guise à travers le plan astral, ou vogue inconsciemment à la dérive, concentrant toute son attention sur son propre contenu, recevant du monde astral une foule d'impacts dont elle ne tient aucun compte, ou qu'elle reçoit selon le stade de son évolution ou l'humeur du moment.
Qu'elle vienne à se manifester à un observateur – comme cela peut se faire durant l'état de transe – elle montrera alors des pouvoirs tellement supérieurs à ceux qu'elle manifestait tandis qu'elle était emprisonnée dans le cerveau physique, que l'observateur, jugeant uniquement par ses expériences physiques, pourra, avec raison, la considérer comme une conscience différente de la première.
Et ceci est encore bien plus marqué – lorsque le corps astral est mis en état de transe et que l'Oiseau céleste apparait, prenant son essor vers des régions plus sublimes, son vol majestueux charmera l'observateur à tel point qu'il le considèrera comme un être nouveau, tout à fait différent de l'entité qui auparavant rampait dans le monde de la matière physique. Et cependant ce n'est toujours qu'une seule et même entité ; les différences sont dues, non à cette entité elle-même, mais aux matériaux avec lesquels elle est en rapport et à travers lesquels elle agit.
Quant au second fait important dont nous avons parlé plus haut, l'humanité n'est pas [118] suffisamment évoluée, pour apprécier les preuves quelles qu'elles soient, de l'unité de la conscience ; quand elle agit sur des plans supérieurs au plan physique ; mais son unité sur ce plan est du moins à peu près démontrée de nos jours.


2 — UNITÉ DE LA CONSCIENCE PHYSIQUE


Au milieu des variétés infinies que présentent les règnes minéral, végétal, animal et humain, l'unité qui est à la base de la conscience physique a été perdue de vue et de grandes lignes de séparation ont été établies de ce fait, lignes qui cependant n'existent pas en réalité. On a refusé toute vie au minéral, on ne l'a accordée que de mauvaise grâce au végétal, et on a ridiculisé H. P. Blavatsky lorsqu'elle déclara qu'une Vie unique, une Conscience unique vivifiait tout et donnait forme à toutes choses.
"Chaque jour l'identité de l'animal et de l'homme physique, de la plante et de l'homme et même du reptile et de son nid, du rocher et de l'homme, est de plus en plus clairement démontrée. Puisqu'il y a identité entre les constituants physiques et chimiques de tous les êtres, la science chimique peut très bien en arriver à dire qu'il n'y a pas de différence entre la matière qui compose le boeuf et celle qui compose l'homme. Mais la doctrine occulte est bien plus explicite. Elle dit : non seulement la composition chimique de ces êtres est la même, mais les mêmes vies infinitésimales et invisibles composent les atomes des corps de l'éléphant et de l'arbre qui l'abrite du soleil. Chaque particule [119] – organique ou inorganique – est une vie 44."
Si cela est vrai, il doit être possible de trouver dans ces minéraux, ces végétaux, ces animaux et ces hommes vivants, des preuves d'une identité de vie, de sensation et de réponse aux excitations ; et, bien qu'il faille s'attendre à trouver des degrés dans la sensation, à voir les manifestations devenir plus riches, plus complexes, à mesure que l'on monte les degrés de l'échelle de la vie, il doit cependant être possible de trouver quelques manifestations bien définies de sensation chez tous les êtres qui participent à une vie unique. Lorsque H. P. Blavatsky écrivit ce qui précède, toute preuve manquait à cet égard ; et c'est d'un savant oriental, auquel ses rares talents ont assuré le bon accueil du monde occidental, que nous arrivent, fort à propos, les preuves demandées.

44 Doctrine Secrète, I, p. 255.

Le professeur Jagadîsh Chandra Bose, M. A. docteur ès sciences de Calcutta, a définitivement prouvé que la matière soi-disant "inorganique" répond aux excitations extérieures, et que la réponse est identique chez les métaux, les végétaux, les minéraux et – autant que l'expérience permet de s'en rendre compte – chez l'homme.
Il construisit un appareil capable de mesurer la force de l'excitation et d'enregistrer, sous forme de courbes qui venaient s'inscrire sur un cylindre en rotation, la réponse donnée par le corps soumis aux expériences. Il compara les courbes obtenues dans l'étain et d'autres métaux avec celles obtenues dans les muscles, et trouva que les courbes de l'étain étaient identiques à celles des muscles et que d'autres [120] métaux donnaient des courbes de même nature, mais variant par leur période de recouvrement.
(a) Série de réponses électriques données par l'étain à des excitations mécaniques successives à des intervalles d'une demi-minute.
(b) Réponses mécaniques dans le muscle.
Il réussit à produire le tétanos complet et partiel, par des chocs répétés, et obtint les mêmes résultats dans les minéraux et dans les muscles.
Effets analogues à (a) tétanos partiel, et (b) tétanos complet dans l'étain.
(a') Tétanos partiel et (b') tétanos complet dans le muscle. [121]
Les métaux présentèrent des symptômes de fatigue, mais l'étain moins que tous les autres. Des réactifs chimiques, tels que certains médicaments produisirent sur les métaux les mêmes effets que ceux qu'ils provoquent d'ordinaire chez les animaux, amenant l'excitation, la dépression et la mort (mort signifiant ici la destruction du pouvoir responsif).
Un certain poison tuera un métal, produisant en lui un état d'immobilité qui fait qu'il est impossible d'éveiller chez lui une réponse quelconque. Si le métal empoisonné est traité à temps, un antidote pourra lui sauver la vie.
(a) Réponse normale ; (b) Effet produit par le poison ; (c) Le métal empoisonné ressuscite par un antidote.
Un stimulant quelconque augmentera le pouvoir responsif. On a vu que certaines drogues stimulent ou tuent, selon la dose employée, et on a trouvé que dans les métaux elles produisaient les mêmes effets.
"Entre tous ces phénomènes, dit le professeur Bose, comment tracer des lignes de démarcation et dire : "Ici s'arrête le processus physique et là commence le processus physiologique ? Ces limites n'existent pas" 45. [122]
Le professeur Bose exécuta une série d'expériences semblables sur des plantes, et obtint des résultats identiques. Un morceau fraichement coupé de la tige d'un chou, une feuille, un légume quelconque, peuvent être soumis à une excitation quelconque : tous accuseront les mêmes courbes. On peut les fatiguer, les exciter ; les déprimer, les empoisonner. Il y a quelque chose de touchant à observer comment le petit point lumineux qui enregistre les pulsations de la plante, voyage en courbes de plus en plus faibles, lorsque cette plante est soumise à l'action d'un poison, ne produit plus finalement qu'une ligne désespérément droite et s'arrête : la plante est morte. Il semble qu'un meurtre vienne d'être commis – et, en réalité, c'en est un 46.
Cette série d'expériences du plus haut intérêt a établi, sur une base définitive de faits physiques, les enseignements de la science occulte sur l'universalité de la vie.
M. Marcus Reed a fait des observations microscopiques qui ont démontré la présence de la conscience dans le règne végétal. Il a remarqué comme des symptômes de peur lorsque les tissus recevaient une blessure quelconque ; il a vu aussi des cellules mâles et femelles flottant dans la sève s'apercevoir de leur présence respective, sans contact ; la circulation s'accélère [123] alors et les cellules font des efforts pour se rapprocher les unes des autres 47.
Plus de trois ans après la publication des expériences du professeur Bose, ses observations se trouvèrent confirmées d'une façon intéressante, au cours de l'étude de M. Jean Becquerel sur les Rayons N, étude qu'il communiqua à l'Académie des Sciences de Paris. Les animaux soumis à l'action du chloroforme cessent d'émettre ces rayons et les cadavres n'en émettent jamais. Ils se présentent chez les fleurs à l'état normal, mais disparaissent totalement lorsqu'on les soumet à l'action du chloroforme. De même les métaux émettent ces rayons, mais chez eux aussi l'émanation cesse sous l'influence du chloroforme. Ainsi animaux, fleurs, métaux, tous émettent ces rayons, mais chez tous l'émanation cesse sous l'influence du chloroforme 48.


3 — SIGNIFICATION DU TERME : CONSCIENCE PHYSIQUE


Le terme "conscience physique" est employé dans deux sens différents, sur lesquels il serait peut-être utile de s'arrêter, afin de les expliquer. On l'emploie souvent pour désigner ce que nous avons appelé plus haut "la conscience habituelle [124] de l'état de veille" c'est-à-dire la conscience de l'homme, du Jivâtmâ – ou, si vous aimez mieux, de la Monade – agissant par l'intermédiaire du Jivâtmâ et de la triade inférieure d'atomes permanents. On s'en sert aussi dans le sens que nous lui donnons ici, celui de conscience agissant dans la matière physique, recevant des impressions du plan physique et y répondant, et n'ayant en aucune façon à s'occuper de transmettre des impressions aux plans supérieurs ou à recevoir les impressions qui viennent, de ces plans, influencer le corps physique.

45 Ces détails sont tirés d'une communication faite par le professeur Bose à l'Institution Royale, le 10 mai 1901, sous le titre de : Response of inorganic Matter to Stimulus.
46 Le professeur n'a pas publié cette conférence, mais ces faits sont consignés dans son livre : Response in the Living and Non-Living. J'ai eu la bonne fortune d'assister à une répétition de ces expériences dans sa propre demeure où j'ai pu les observer de près.
47 Consciousness in vegetable matter, Pall Mall Magazine, juin 1892.
48 Les rayons N sont dus à des vibrations du double éthérique qui produisent des ondes dans l'éther ambiant. Le chloroforme chasse le double éthérique, d'où arrêt brusque dans l'émanation de ces rayons ; à la mort, le double éthérique quitte complètement le corps et, par conséquent, les rayons disparaissent aussi.

Dans cette acception plus restreinte et plus exacte, ce terme comprend :
a. toute vibration vers l'extérieur, émanant des atomes et des molécules animés par la vie du Troisième Logos.
b. toute vibration de cette nature émanant de formes organisées animées par la vie du Deuxième Logos.
c. toutes les vibrations de ce genre provenant de la vie de la Monade, émanant des atomes permanents, et qui n'ont pas de rapport direct avec les spirilles.
Lorsque les spirilles entrent en activité, la "conscience ordinaire de l'état de veille" se trouve influencée. Par exemple, si l'on aspire de l'ammoniaque par le nez, deux résultats se produisent : il y a tout d'abord une sécrétion rapide – réponse des cellules des organes olfactifs – puis une odeur, résultat d'une vibration qui se propage jusqu'aux centres sensoriels dans le corps astral, où elle est reconnue par la conscience ; le changement qui se produit alors dans la conscience affecte le premier groupe de spirilles des atomes des nerfs olfactifs et parvient ainsi à la "conscience de l'État de veille" – la conscience agissant dans le cerveau physique. [125]
C'est uniquement par l'intermédiaire des spirilles que les changements qui se produisent dans la conscience, sur les plans supérieurs, peuvent donner naissance à des changements dans "la conscience de l'état de veille".
Il faut rappeler que si le Système solaire, dans son ensemble, constitue un vaste champ d'évolution pour la totalité des consciences qui s'y développent, il y a aussi dans ce système des étendues moins vastes qui tiennent lieu de champs d'évolution secondaires. L'homme est le microcosme de l'univers, et son corps sert de champ d'évolution à des myriades de consciences moins évoluées que la sienne. Aussi les trois activités a) b) c) sont-elles toutes présentes dans son corps et toutes font partie de la conscience physique qui agit en lui ; mais ce qui concerne les spirilles des atomes n'a rien à faire avec cette conscience physique et tient de la conscience du Jivâtmâ. De nos jours, les activités de la conscience physique n'affectent plus directement la "conscience de l'état de veille" chez les animaux supérieurs et chez l'homme. Leur action se faisait sentir au début de la vie embryonnaire dans l'Âme-groupe, tandis que la Conscience du Deuxième Logos veillait encore, comme une mère, sur la conscience naissante dérivée d'elle. Mais la conscience physique est tombée, de nos jours, au-dessous du niveau de la conscience et se manifeste sous la forme de mémoire des cellules, d'action sélective dans les glandes et les papilles et, en général, préside aux fonctions nécessaires à l'entretien du corps physique. C'est l'activité la plus inférieure de la conscience, et à mesure que cette conscience fonctionne plus librement sur [126] les plans supérieurs, elle se désintéresse de ses activités inférieures qui, dès lors, deviennent automatiques.
C'est précisément à cette conscience physique qu'il est fait allusion dans les expériences du professeur Bose, et c'est la réponse de cette conscience qui est identique dans l'étain et dans l'animal, et dont les pulsations sont enregistrées sous forme de courbes ; mais l'animal ressentira l'excitation, tandis que l'étain ne la sent pas car l'animal a, en plus, la conscience dans la matière astrale. Nous pouvons donc dire que la conscience, agissant dans la matière physique, répond à des excitations variées et que la réponse est toujours la même, que ce soit chez le minéral, le végétal ou l'animal. Dans tous, la conscience présente les mêmes activités caractéristiques, dans tous elle EST identique. Les différences que nous observons, comme il a été dit à mesure que nous nous élevons, sont dues à l'amélioration de l'appareil physique, appareil qui permet aux activités astrales et mentales – non aux physiques – de la conscience, de se manifester sur le plan physique. Les hommes et les animaux pensent et sentent mieux que les végétaux et les minéraux parce que leur conscience, plus hautement évoluée, a façonné sur le plan physique cet appareil très perfectionné ; mais, même dans cet état de perfection, nos corps répondent d'une façon absolument identique à celle des corps inférieurs, lorsqu'ils sont soumis aux mêmes excitations, et cette conscience, purement physique, est la même dans tous les êtres.
Dans le minéral, la matière astrale associée à l'atome astral permanent est si peu active, et la [127] conscience y est si profondément endormie, qu'il n'y a pas d'activité perceptible entre l'astral et le physique. Dans les végétaux supérieurs, il semble y avoir un vague pressentiment de système nerveux, mais ce système est trop peu développé pour servir à autre chose qu'à des usages tout à fait rudimentaires. L'activité additionnelle sur le plan astral vient, chez la plante, perfectionner l'enveloppe astrale, et les vibrations de cette enveloppe affectent la contrepartie éthérique de la plante et par suite la matière dense, elle aussi. De là cet embryon de système nerveux auquel nous faisions allusion plus haut.
Dès la période animale, l'activité beaucoup plus grande que la conscience déploie sur le plan astral donne naissance à des vibrations plus puissantes, qui se transmettent au double éthérique de l'animal, et ce sont les vibrations ainsi engendrées qui construisent le système nerveux. L'élaboration de ce système nerveux est due au Logos agissant par l'intermédiaire de l'Âme-groupe, et à la participation active des Êtres de Splendeur du troisième Règne élémental qui dirigent le travail des esprits éthériques de la nature. Mais l'impulsion vient de la conscience qui, sur le plan astral, agit dans l'atome permanent et dans l'enveloppe de matière astrale que cet atome attire autour de lui, et qui est appelée à l'activité par l'Âme-groupe. À mesure que le premier système, tout rudimentaire d'abord, se forme, il devient possible à des impressions extérieures plus délicates de se faire sentir et ces impressions viennent contribuer à la marche de l'évolution.
L'action et la réaction se succèdent tour à tour, et le système nerveux gagne en pouvoir réceptif [128] et transmetteur. À ce stade d'évolution, la conscience ne prend guère part au travail de construction sur le plan astral ; elle y agit dans une enveloppe non organisée ; c'est sur le plan physique que l'organisation se fait, grâce aux efforts de la conscience qui cherche à s'exprimer – efforts vagues, tâtonnements confus, dans lesquels elle est aidée et dirigée par l'Âme-groupe et les Êtres de Splendeur. Il faut que cette élaboration soit achevée, jusqu'à un certain point, avant l'arrivée de la troisième Vague de vie, car l'homme a évolué et possède déjà un cerveau et un système nerveux, avant l'arrivée de cette Vague de vie qui donne un corps au Jivâtmâ et rend possible l'évolution supérieure de l'homme.

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